"Au rythme des jours, entre larmes et sourires"

Le soir arrivent les pleurs, les larmes douces et amères,

Dans l'obscurité qui enveloppe les cœurs solitaires.

Les âmes meurtries se laissent emporter par le tourment,

La tristesse se répand, triste chant d'un lament.

Les pensées s'envolent telles des ombres nocturnes,

Sous la lune pâle, éclairant les chemins taciturnes.

Les souvenirs se réveillent, tels des échos lointains,

Les blessures se rouvrent, éveillant d'anciennes peines.

Dans la nuit silencieuse, les émotions débordent,

Comme une pluie torrentielle, inondant les cœurs qui accordent.

La mélancolie s'élève, comme une symphonie de tristesse,

Le soir est le confident des âmes en détresse.

Mais le matin se lève, annonçant une lueur d'espoir,

Les pleurs se dissipent, laissant place au devoir de revoir.

L'aube dévoile un ciel radieux, teinté de douces caresses,

Et les cœurs se réveillent, dans l'allégresse.

Le soleil se lève, éclairant les chemins de la vie,

Réchauffant les cœurs, chassant les nuages d'ennui.

Les rires s'élèvent, comme des oiseaux dans le ciel,

Le matin est le messager d'un bonheur éternel.

Ainsi va la danse de la vie, entre tristesse et joie,

Un éternel balancement, un doux parfum d'émoi.

Le soir peut apporter les pleurs, les souvenirs douloureux,

Mais le matin apporte l'allégresse, le renouveau précieux.

Alors, laissons les larmes couler dans la nuit étoilée,

Car le matin nous offrira une nouvelle opportunité.

Dans chaque coucher de soleil, dans chaque lever du jour,

Trouvons la force de renaître, d'aimer et de toujours y croire.